Je crois à cette ambivalence entre le plaisir de l’Amour et celui de l’Image. Pas l’image industrielle de nos films de consommation, mais celle de nos films d’amour, de nos films de vie. Ill faut être amoureux de l'image pour capter la vie. C’est une image de combat.
dimanche 16 juin 2013
cinémAmour
Je crois à cette ambivalence entre le plaisir de l’Amour et celui de l’Image. Pas l’image industrielle de nos films de consommation, mais celle de nos films d’amour, de nos films de vie. Ill faut être amoureux de l'image pour capter la vie. C’est une image de combat.
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