tag:blogger.com,1999:blog-3159530102974644569.post1254124708677332058..comments2020-10-01T04:43:00.916-07:00Comments on BLOG NOTE D'UN CINEASTE: L'invisible travailAnonymoushttp://www.blogger.com/profile/07308614290230895200noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-3159530102974644569.post-58992706631715642452009-09-29T10:33:01.859-07:002009-09-29T10:33:01.859-07:00En effet, concernant l'institutionnel le monte...En effet, concernant l'institutionnel le monteur à généralement l'étalonnage en plus à faire. Même si le plus souvent ça tourne très rapidement à l'overdose de contraste et de saturation. Mais "à ce qu'il paraît" cela rend plus "beau". Pourquoi pas. Mais c'est bien là le problème. On le fait plus pour cacher un défaut et le maquiller que pour souligner un effet de lumière voulu lors du tournage.<br />Je vais tout de même pas non plus trop exagérer, cela reste de l'institutionnel et ses conditions de réalisation sont loin d'être celles d'une fiction, par exemple.Jeremy Richardhttp://bancvirtuel.jeremyrichard.com/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3159530102974644569.post-78982148882851287482009-02-10T09:49:00.000-08:002009-02-10T09:49:00.000-08:00Je crains fort qu'en production numérique (il y a ...Je crains fort qu'en production numérique (il y a toujours un étalonneur en film) on ne fasse appel à un étalonneur que pour un effet VISIBLE : le reste du temps c'est le monteur qui assure l'étalonnage, particulièrement en institutionnel.Anonymousnoreply@blogger.com